J'apprends, petit à petit à rester centrée dans le Seigneur, et ce, dans toutes mes activités de la journée. Et quoi qu'il se passe, me revient toujours la conscience de Dieu.
Et lorsqu'il m'arrive un gros souci, sans m'énerver ni partir dans tous les sens, j'ACCEPTE, sachant que Jésus m'aide à porter la souffrance.
Lorsque quelqu'un me blesse, je me demande d'abord si ce n'est pas une blessure d'enfance ou mes réactions affectives qui sont disproportionnées. En effet, l'autre n'est pas responsable de mes manquements.
"Si prier, c'est demander la paix, il ne s'agit pas de la paix des armes, mais de la paix des coeurs, de laquelle dépendra finalement la paix des armes". ABBE PIERRE
Christiane