Bonjour,
En relisant de vieux cahiers de mon passé, je m'aperçois que dieu parlait déjà à mon âme dans la détresse que je traversais quand je devais avoir 19 20 ans.
*Je ne savais pas bien à qui j'écrivais, mais je pensais à notre seigneur, cela ne fait aucun doute aujourd'hui. Je suis ravie de le partager avec vous, bien que cela ne touche que moi, j'en suis consciente. Vous allez cependant vite comprendre que je suis une romantique, nostalgique, quoi de plus normal à cette âge là.... Je voulais poétiser, seulement je n'avais aucune rhétorique, j'en ai même honte de vous le copier, c'est tellement
de mots, de rêveries, de phrases qui ne veulent rien dire. Bien à vous.
"Nous avons tous Dieu en nos âmes, à n'importe quel âge, je crois Voici:
DANS UNE VOIX INCERTAINE (2-3-1984)
Tu es pour moi dans la vie une personne, une présence que je dois ressentir, un long trajet d’amour invisible.
Tu es une main présente à mon secours, une tête puissante Éternelle pour des milliers de jours.
Je te sens dans mes bras, mais tu es dans mon cœur !
Tu vis comme les incas et moi comme les fleurs !
Dans une voix incertaine, je t’entends me dire « je t’aime »
Tu vis, tu viens, moi je ne penses à rien, seulement à ce que je te fais endurer,
Tu es pour moi dans la vie, un autre homme, une sensation inépuisable, un long trajet d’amour invisible, inaccessible, en cet instant si périssable, tu es une sensation si agréable, dont le visage est caressant de douceur rêveuse.
Tu es si loin, loin dans le Sahara, mais mon cœur , lui est toujours à toi !
Tu vis, tu viens, mais tu ne penses à rien, seulement pleurant tristement, à se que je dois mijoter, pour mieux me protéger de moi…
Le désert m’a recouverte de son sable où pendant des nuits, je t’ai rêvé, toi tu m’as réchauffé de ton manteau. Et dans cette voix incertaine, je t’entends me dire « je t’aime »
Je m’endors, puis je m’éveille. Le sable désertique n’était que ma couverture, et toi tu étais toujours près de moi !
La voix n’était que le souffle de ta respiration que longtemps j’ai rêvé et qui m’a poursuivit jusqu’à mon réveil : Mon sauveur, bien aimé !
Seul, toi, dans cette nuit, parcheminait mes pensées et seul, toi, j’ai aperçu au loin dans mon cœur et dans mon esprit.
Je voudrais me cacher dans le torrent de ta miséricorde, dans ton cœur je veux sombrer pour ne plus sentir le poids de ma vie de larmes.
(Mon dieu, Jésus me sourit! Disais la petite Thérèse)