"Souvent, nous sommes tentés de succomber à tel ou tel "péché". Il y a alors un jeu en notre tête entre le bien et le mal, et lorsque nous cédons à la tentation nous nous disons par exemple :
- Allez, je cède et ensuite je me confesserai.
Ou bien :
- oh, c'est pas si grave, ensuite je ne recommencerai pas.
Ou encore :
- Dieu, tu sais que je suis faible, pardonne-moi.
Bien sûr que Dieu est miséricorde, mais est-ce une raison pour le frapper ?
Comprenons bien, frères et soeurs bien-aimés, qu'à chaque fois que nous cédons au mal, ce n'est pas seulement une affaire entre nous et notre conscience. Non, non, mais c'est une blessure que nous affligeons à une personne. Nous meurtrissons le corps et le coeur de la sainte personne de l'Esprit de Dieu !"
LA BONNE NOUVELLE.