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 Pat Burns R.I.P.

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MessageSujet: Pat Burns R.I.P.   Pat Burns R.I.P. EmptySam 20 Nov - 17:13

Pat Burns, ancien entraîneur d'équipes de hockey junior et professionnelles au Québec et aux USA, est décédé hier à 58 ans, après un long et courageux combat contre le cancer.

Je salue son courage et sa sérénité devant la mort.

Mes condoléances à la famille.

R.I.P.

Citation :
Hockey professionnel

Pat Burns perd son combat contre le cancer

L'ex-entraîneur de la Ligue nationale de hockey, Pat Burns, est décédé vendredi des suites d'un cancer des poumons. Il avait 58 ans (4 avril 1952 – 19 novembre 2010).

La nouvelle a été confirmée par l’organisation des Devils du New Jersey.

Burns a connu une carrière de 14 saisons dans la LNH, au terme de laquelle il a réalisé un exploit unique, soit de remporter le titre d'entraîneur par excellence avec trois équipes différentes. Le trophée Jack-Adams lui a été attribué en 1989 avec les Canadiens de Montréal, ainsi qu'en 1993, avec les Maple Leafs de Toronto, et en 1998, avec les Bruins de Boston.

De policier à entraîneur-chef

La première carrière de Pat Burns en était une de policier-enquêteur à Gatineau. Mais il était aussi entraîneur de hockey. Cet emploi d'appoint a vite pris le dessus et en 1984, il obtient l’emploi d’entraîneur-chef avec les Olympiques de Hull dans la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ).

Puis, en 1986, il a mené la troupe hulloise aux grands honneurs, soit la conquête de la Coupe du Président. Lors du tournoi de la Coupe Memorial, son équipe s’incline en finale contre les Platers de Guelph dirigés par l’entraîneur actuel des Canadiens, Jacques Martin. Au cours de cette saison, il dirigeait des joueurs de renom tels Luc Robitaille, Guy Rouleau et Pat Brisson.

Il a ainsi attiré les regards des équipes professionnelles et, l'année suivante, il a été embauché par l'organisation des Canadiens de Montréal pour diriger le club-école de Sherbrooke dans la Ligue américaine.

En 1988, il obtient sa première chance dans la Ligue nationale de hockey (LNH), alors qu’il est appelé à remplacer Jean Perron chez les Canadiens de Montréal. Son impact a été immédiat, car le Tricolore a remporté le championnat de la section Adams avec 115 points en plus de participer à la finale de la Coupe Stanley.

Lors de l’étape ultime, ils devaient s'incliner en six rencontres face aux Flames de Calgary. C'est à l'issue de cette campagne que Burns devait obtenir son premier prix de consolation, le trophée Jack-Adams, remis à l'entraîneur-chef par excellence de la LNH. Son passé de policier n'étant jamais loin, il représentait le candidat parfait pour prêter son nom et son image à des campagnes de sensibilisation comme «Dites non à la drogue», au Québec, en 1990.

En 1992, après quatre ans à la barre des Canadiens, il quitte pour aller diriger les Maple Leafs de Toronto, les rivaux séculaires du Tricolore. Dès l'année suivante, on lui décernera à nouveau le Jack-Adams. Il partira de Toronto en 1996.

Prochaine destination, Boston et ses Bruins, également des ennemis traditionnels des Canadiens, où il séjournera encore quatre saisons, non sans emporter dans ses bagages son troisième trophée Jack-Adams.

Après une pause de deux ans, il ressurgit chez les Devils du New Jersey, la seule équipe avec laquelle il n'a pas reçu le titre d'entraîneur-chef de l'année. Mais cette fois, c'est la Coupe Stanley qu'il remportera, en 2003, dès sa première saison. Sa seule au cours de sa carrière derrière le banc. Une compensation plus que satisfaisante.

Fougue et passion

Plusieurs amateurs de hockey se souviendront de Burns comme d’un entraîneur passionné et fougueux. Lorsqu’il jugeait que l’arbitre de la rencontre ne faisait pas un bon travail, il n’hésitait pas à lui faire savoir en montant sur le bord de la rampe et en l’enguirlandant.

Ses joueurs ont également subi ses sauts d’humeur en raison de leurs écarts de conduite à l’extérieur de la patinoire.

En 1992, Shayne Corson avait été impliqué dans une échauffourée au Zoo Bar situé sur le Boulevard Saint-Laurent. Questionné sur l’affaire, Pat Burns n’avait pas passé par quatre chemins pour exprimer son état d’âme : «En bon français, qu’il mange de la m…» Pat Burns avait également déclaré que de diriger les Bruins de Boston, c’était comme d’aller à la chasse à l’ours avec un couteau à beurre.

Appelé à commenter une blessure à l’aine de Chris Chelios, il avait déclaré : «C’est dans la région de la laine… en-té-ka… c’est médical, pis ça fait mal.»

Cancers à répétition

C'est après la saison suivante qu'apparaît le premier de ses trois cancers. Au cours de la saison 2003-04, on lui diagnostique un cancer du côlon. En 2005, le cancer s'était attaqué à son foie. Puis, au printemps de 2008, ce sont les poumons qui ont été touchés. Cette dernière récidive était de trop, Burns ayant choisi de ne plus recevoir de traitements de chimiothérapie.


Entre le deuxième et troisième épisode de sa maladie, il envisage un retour dans la LNH, en 2008. Mais la réapparition du mal le force à renoncer. Non seulement à l'emploi… mais aussi aux traitements de chimiothérapie.

Plus d'un million de personnes l'ont retrouvé, le soir du 22 novembre 2008 au Centre Bell, alors qu'il était un des trois entraîneurs à rendre hommage à Patrick Roy, lorsqu'on a hissé le numéro 33 au plafond de l'édifice.

Il est resté attaché à l'organisation des Devils du New Jersey à titre de conseiller et de recruteur professionnel. Depuis la Floride, où il avait élu domicile, il avait passé la dernière année à correspondre avec la station CKAC-Sports, tous les matins, gardant le contact avec ses partisans du Québec et, vice-versa. Crédible, il assaisonnait ses opinions d'un humour très personnel, ce qui le rendait éminemment sympathique auprès des amateurs.

L’héritage de Pat Burns à Stanstead

Le 26 mars 2010, il participait au lancement de son dernier projet. La municipalité de Stanstead, en Estrie, avait décidé de nommer l'aréna municipal en son nom, ce qui l'a profondément touché. Humble, il déclarait ne pas comprendre un tel honneur, mais il l'endossait entièrement pour que les jeunes puissent avoir un endroit où pratiquer leur sport préféré. «Qui sait, disait-il à ce lancement, en présence de plusieurs de ses proches, de nombreux collègues des médias et du premier ministre canadien Stephen Harper, il y a peut-être un futur Wayne Gretzky, un futur Mario Lemieux ou un futur Sydney Crosby qui s'entraînera là.»

En 1019 matchs dans la LNH, Pat Burns a compilé un dossier de 501 victoires, 350 défaites et 161 verdicts nuls et 14 défaites en prolongation.

Seule note discordante à la fin de sa vie, le Temple de la renommée du hockey ne lui a pas ouvert ses portes en 2010, alors qu’il remplissait tous les critères lui permettant d’accéder à l’immortalité sportive. D’ailleurs, cette situation avait entraîné une vague de sympathie et de protestations de la part des médias, comme du public, à l’endroit de Burns.

(Agence QMI)

http://lcn.canoe.ca/lcn/sports/nouvelles/archives/2010/11/20101119-182840.html
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cébé

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MessageSujet: Re: Pat Burns R.I.P.   Pat Burns R.I.P. EmptySam 20 Nov - 17:31

Nous le portons dans nos prières rose rouge


Je vous salue Marie
Pleine de grâce
Le Seigneur est avec vous
Vous êtes bénie entre toutes les femmes

Et Jésus le fruit de vos entrailles est bénie

Sainte Marie
Mère de Dieu
Priez pour nous pauvres pécheurs
Maintenant et à l'heure de notre mort

Amen


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