Avant ma conversion, j'étais persuadée que l'amour de Dieu se méritait, qu'il fallait gagner le bonheur céleste. Maintenant je sais qu'il est donné gratuitement et qu'il suffit d'être un enfant de Dieu.
Les difficultés aussi s'aplanissent, même les souffrances prennent un sens. Cette découverte m'émerveille.
En fait, nous devrions presque toujours être JOYEUX car Dieu nous comble au-delà de toute espérance.
En communion avec vous,
Christiane