Petites phrases quotidiennes de "Prions en Eglise"

Je prends le temps de lire les paragraphes 14 à 18 de La joie et l’allégresse, l’enseignement du pape François sur la sainteté des petits gestes du quotidien.

Après dix jours de Carême, je fais le point sur mon cheminement et je le confie au Seigneur.

À chacun sa montée vers Jérusalem, avec le Christ. Vers quoi, vers qui je monte ?

Suis-je riche ? Suis-je pauvre ? Le Seigneur regarde le cœur. Je revisite mon idée du « bonheur ». Est-elle conforme à l’Évangile ?

La miséricorde a un visage : Jésus Christ. Il a besoin de mon cœur, de mes mains, de mes choix. C’est le moment de les lui offrir.

« Que peut-il sortir de bon de Galilée ? » Je recherche ce qui est bon dans un lieu ou chez une personne sur lesquels j’ai des préjugés. (Invitation proposée avec le CCFD-Terre solidaire)

J’écoute le Seigneur me dire, peut-être par le sacrement de réconciliation : « Je ne te condamne pas, je t’aime.»

En famille, auprès d’amis, au travail, je réconforte quelqu’un qui est abattu par les événements du monde.

En pensant à « l’homme qui avait été guéri » par Pierre et Jean « au nom de Jésus », je lui confie dans ma prière un proche malade.

J’ouvre une fenêtre de chez moi. Je prête attention au vent sur ma peau. Au souffle de vie qui me traverse.

Aujourd’hui, je fais entrer la lumière chez moi. Faut-il tirer un rideau ? Nettoyer les carreaux ?

Il y a des paroles qui aident à vivre, des mots qui font du bien. J’adresse à quelqu’un des mots de réconfort, de consolation, d’amitié.

Je fais l’inventaire des gestes et des engagements par lesquels je manifeste mon rôle actif dans la société.

Je retiens les mots blessants qui pourraient jaillir de moi aujourd’hui et je les transforme en silence accueillant, voire en paroles bienveillantes.

Je prends le temps de remercier : loué sois-tu, Seigneur, pour le ciel étoilé, pour le soleil du jour et pour ma vie, petite, fragile, mais précieuse.

Je choisis une lecture inspirante d’un témoin ancien ou récent qui a tout quitté pour suivre le Christ : Charles de Foucauld, Mère Teresa…

J’ose faire aujourd’hui quelque chose de nouveau, que je repousse depuis déjà trop longtemps.

Servir Jésus, c’est le suivre. À quoi m’appelle-t-il aujourd’hui ?

Je prends un vrai temps de qualité avec mes enfants ou mes petits-enfants. Téléphone coupé, entièrement présent.

J’envoie une carte postale à un ami un peu perdu de vue. Juste pour lui dire qu’il compte pour moi.

Je propose à ceux qui partagent ma journée un temps de prière en commun.

Je suis attentif aujourd’hui aux enfants que je vois, j’apprends d’eux la joie de vivre, la spontané...

La fête des saints archanges me rappelle l’union entre l’Église du ciel et l’Église de la terre. Avec eux je chante, je loue le Seigneur !

Alors que le mois de septembre s’achève déjà, ai-je accordé une place à Dieu dans l’agenda de l’année qui commence ?...

J’ouvre mon agenda d’octobre et je présente au Seigneur mes rendez-vous, mes projets, les événements prévus…. Et je dis : « Avec toi, Seigneur ! »

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