UNE GUERISON--SURPRISE.
En notre chapitre des témoignages, Georges Berhault achève le sien par ces mots :
"Il pria pour moi-même et combien éfficacement " !
Comme il nous agrée de développer ici cette rapide déclaration.
A l'âge de 13 ans, la santé de Georges tourne au tragique. A plus tôt, les médecins
décident une cure en Suisse.
Aux dernières anayuses et dispositions en vue de départ, la faculté ne lui découvre plus
aucun symptôme morbide. Le docteur Julien s'en montre particulièrement surptis. Quand Georges,
sans hésitation, il en livra le secret a sa maman: " Je sais qui m'a guéri. C'est la Sainte Vierge.
Gilles à prié pour moi ".
Quel fut donc le circuit d'un si prompt retournement ?
Depuis quelque temps, les familles Bouhours et Berhault connaissaient des relations plutôt
commerciales.
Le 12 juillet 1953, Madame Berhault et son Georges arrivent chez Madame Bouhours. Tout
accablée, elle lui narre le cas douloureux de son fils.
Le 9 juillet précédent , Monsieur le docteur Estéve, radiologue de Saint Gaudens, venait de lui
prescrire une villégiature de trois ans en Suisse...
Les deux mamans se séparèrent. Mais le soir, la famille Bouhours, réunie en la chapelle de Gilles,
ne manque pas de prier pour la guerison du jeune malade.
Le lendemain 13 à 21 heures, en ce même lieu, Notre-Dame se montre a Gilles. Tous prient
avec ferveur, sans toutefois remarquer d'intention spéciale.
Mais, a la fin de la prière, tout spontanément, Gilles demande trois Avé Maria pour son petit ami.
Le 16 juillet, trois jours plus tard, le docteur Julien de Pau, sur ma proposition du docteur Estève,
reçoit Georges Berhault, examine le film et le compte-endu de son confrère de Saint Gaudens
et confirme ses prescriptions.
Enfin, après soigneuse confrontation, il déclare Georges bien portant et annule toute éventualité d'un
séjour en aérium et sanatorium. Ceci d'ailleurs, bien au regret de l'adolencent, ravi d'une si belle
vacance en montagne.
Une fois encore, " la Reine du Sauveur" et so fifi y avaient mis la main.
XXX
Eb guise de conclusion, nous voulons dire notre admiration et notre gratitude à deux vaillants de
Notre Dame d' Espis.
A Monsieur le docteur Roques, ancien professeur à la faculé de Médecine de Bordeaux. Dans un
document simportant, il retrace l'évolution de la maladie de Georges Berhault et sa guérison subite.
S' appuyant sur les rapports des médecins, comme sur la longue expérience, il ose affirmer l'immpossibilté
de donner à cette guérison une explication indiscutable0
A Monsieur Henri Lefort de Verdun, ensuite. Par de solides publications il s'attacha à défendre Notre-Dame
dans nombre de ses mmanifestations maternelles en vue de sauver ses enfants de la terre en si grâve danger.
Il voulu mettre en pleine lumière le cas de Georges Berhault et plaida jusqu'au bout en faveur des faits d' Espis,
par ailleurs si durement combattus.
Tous deux ont reçu récompense de la Reine du Très Saint Rosaire. Honneur à leur foi courageuse.....
XXX
Clôturons ce double chapitre par une belle profession de foi.
Elle provient d'un autre médecin, de la région de l' Ouest, celui-ci
La plaquette consacrée à Gilles Bouhours m'intéresse toujours. Je viens de la rekire avec foi.
Je suis cette histoire avec passion. Je me convaincs qu 'il y a dans cette vie brève plus qu'une
mission passagére. A coté des pires turpitudes de notre pauvre monde, notre temps est
aussi le temps des Saints.
Et la vie du si cher Petit Gilles nous est une raison de croire et d' éspèrer."
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TOMBE FLEURIE, TOMBE DE GRACES
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